Donald Trump risque de gagner le prix de la médiocrité 

Donal Trump pour son deuxième mandat va-t-il être le Président le plus mauvais de l’histoire de l’Amérique.

En effet après avoir remis la France au centre de l’échiquier politique mondiale en redonnant une voix au Président Emmanuel Macron qui était proche de la mort encéphalique. Le Président des USA vient d’oublier une nouvelle fois l’Histoire, rappelons Dominique De Villepin qui a fait un discours historique à l’ONU et Jacque Chirac le Président de l’époque qui est devenu un leader incroyable contre la guerre en Irak.

Les Présidents de France quand ne sont jamais très bon chez eux mais brille toujours à l’international. Et Donald Trump vient de remettre Macron au centre des leaders politiques, l’industrie de l’armement française et européen sans oublier Airbus qui va être le grand gagnant de cette guerre.

Pouvons-nous faire confiance à un pays qui peu nous interdire d’utiliser ses armes.

Durant la campagne présidentielle américaine, Donald Trump avait assuré qu’il mettrait un terme rapide aux conflits en Ukraine et à Gaza. Cependant, aujourd’hui, il semble être manipulé par Vladimir Poutine et Benjamin Netanyahou, qui tirent les ficelles en coulisses.

Aujourd’hui, on constate que Donald Trump est en train de louper ses deals.

Donald Trump, convaincu de mériter le prix Nobel de la paix

Donald Trump est persuadé d’être le plus grand artisan de paix de l’histoire, au point de se considérer comme le candidat idéal pour le prix Nobel. C’est avec cette conviction qu’il s’est lancé dans la course à la présidence l’année dernière, promettant de résoudre la guerre en Ukraine « en 24 heures ».

Concernant Gaza, il avait également déclaré : « Je vais régler ça rapidement », s’adressant notamment à la communauté arabo-américaine du Michigan, un État clé pour sa victoire. Beaucoup ont cru en ses promesses, ce qui lui a permis de remporter cet État pivot en novembre. Mais cette semaine, la réalité a frappé : ses déclarations grandioses se sont révélées creuses.

Trump et la paix il nous fait rire

Par Daniel Torok — Official 2025 portrait on https://www.whitehouse.gov/administration/Also posted at https://x.com/dto_rok/status/1879759515534729564, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=158023996

Netanyahou relance les hostilités, Trump impuissant

Benjamin Netanyahou a mis fin unilatéralement au cessez-le-feu avec le Hamas, relançant une offensive brutale sur Gaza. Les conséquences ont été désastreuses : plus de 400 morts, principalement des civils, faisant de ce jour le plus meurtrier depuis 15 mois, selon CNN. Netanyahou a averti : « Ce n’est que le début. »

On peut s’attendre ici à une escalade de la guerre et peut-être un embrassement générale de la région. Ici, les USA devront intervenir si des pays viennent en aide à la Palestine et attaque Israel sur ses fronts. Aujourd’hui, Trump à trop vouloir en faire et en train de ne rien faire du tout.

La région du Moyen-Orient est une région très délicate qui va aller avec une main de velours.

Parallèlement, Trump a eu un échange téléphonique avec Vladimir Poutine. Les attentes étaient déjà faibles, mais le résultat a été décevant. Le président russe a refusé une trêve de 30 jours, pourtant acceptée par l’Ukraine. Il n’a concédé qu’une suspension temporaire des attaques sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes, en échange de l’arrêt des livraisons d’armes et du partage de renseignements avec Kiev – des conditions jugées inacceptables.

Alors maintenant on peut se demander, pourquoi avoir fait cette petite fête contre le Président Zelensky devant le monde entier, la charge du Vice Président des USA puis de Donald Trump qui est en train de se retourner contre eux. Que restera-t-il du couple présidentielle dans l’histoire ?

Pour de nombreux observateurs, Poutine a à peine évité à Trump une humiliation totale. Et le Président de la Russie est un redoutable négociateur. Il faut savoir qu’il faut craindre la Russie et la chose que Trump n’a pas compris c’est que Napoléon a été l’unique personne qui a été jusqu’à Moscow et qui n’a pas perdu par une défaite mais par son avancé trop rapide.

Comme disait Freud « Celui qui oublie son passé et condamné à la revivre ».

Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a résumé la situation sur ZDF : « Avec cette proposition, Poutine épargne l’infrastructure la mieux protégée d’Ukraine tout en espérant que Kiev suspendra ses attaques de drones contre les raffineries russes. Mais une paix réelle ? Ce n’est pas à l’ordre du jour. »

Trump piégé par la diplomatie de Poutine et l’art de la négociation du KGB

En réalité, Trump s’est fait manipuler. Un détail de leur conversation en témoigne : le hockey sur glace. L’exclusion de la Russie des compétitions internationales est l’une des rares sanctions qui touche réellement Moscou. Pourtant, Trump a laissé entendre qu’un retour progressif de la Russie aux tournois internationaux, via des matchs avec des stars de la NHL, était envisageable. Ici, il est entré dans le piège de Poutine, peut-il revenir en arrière et se faire déshonorer devant le monde entier. Car la confrontation dans le bureau ovale va lui revenir comme un boomerang en pleine tête. Prendra-t-il un nouveau capte et il dira, nous allons donner le paquet à l’Ukraine et provoquer une confrontation direct avec Poutine ?

À Gaza, le scénario est similaire. Selon le Wall Street Journal, Trump aurait donné son accord à Israël pour intensifier les frappes contre le Hamas, alors que des négociations pour un cessez-le-feu et la libération des otages se poursuivaient au Qatar.

Vous voyez les comptes X qui disent que Trump est un chouette type, une personne de la paix. En faîte tout cela est en train de se retourner contre lui. Il ne parvient plus à gérer sa diplomatie.

La guerre, un outil politique pour Netanyahou comme pour Poutine

CNN analyse que Netanyahou ne souhaitait probablement jamais dépasser la première phase du cessez-le-feu. Son objectif ? Maintenir un état de guerre permanent pour conserver le pouvoir. Plus le conflit dure, moins la pression pour libérer les otages est forte.

Preuve supplémentaire de cette stratégie : le retour du ministre ultranationaliste Itamar Ben-Gvir au gouvernement. Avec son soutien, Netanyahou espère faire adopter son budget d’ici la fin du mois, évitant ainsi la dissolution de la Knesset et des élections anticipées – un scénario qu’il veut à tout prix éviter.

Il faut savoir que pour Poutine cet état de guerre permanent est très bon pour son pouvoir, car une paix, une défaite diplomatique et ici, c’est peut-être la fin.

Il faut savoir si les Allemands et les USA disent ok pour le pont de Crimée et que celui-ci est détruit la Russie ne pourrait plus tenir le front de crimée et devrait une nouvelle fois ouvrir le tiroir de la menace nucléaire.

Israël sur la voie de l’autoritarisme

Netanyahou semble également chercher à renforcer son emprise sur le pouvoir en affaiblissant les institutions démocratiques. Il envisage de limoger Ronen Bar, le chef du Shin Bet, et vise également la procureure générale, Gali Baharav-Miara, au risque de compromettre la sécurité nationale.

Du côté de Trump, aucune opposition n’est à attendre. Il reste concentré sur l’Iran, intensifiant les frappes contre les Houthis au Yémen, alliés de Téhéran. Une position paradoxale pour un président qui se présente comme un artisan de la paix, d’autant que l’Arabie saoudite a déjà échoué dans sa tentative de neutraliser les Houthis par des moyens militaires.

L’image de pacificateur de Trump s’effrite

Cette contradiction illustre bien la politique étrangère de Trump. Bien qu’il continue de rejeter la responsabilité des conflits en Ukraine et à Gaza sur son prédécesseur, Joe Biden, cette excuse perd de sa crédibilité. Plus les bains de sang se prolongent, plus son image de pacificateur s’effondre.

Comme le souligne CNN : « À un moment donné, Trump devra prendre des décisions difficiles qu’il repousse pour l’instant. » En clair, il pourrait finir par réaliser que Poutine et Netanyahou l’ont manipulé depuis le début, tirant profit de sa naïveté diplomatique.

Aujourd’hui, le monde est en grand danger et l’Europe se doit de venir au secours du monde. Nous devons nous réarmer et d’imposer au monde la démocratie, le pluralisme, la liberté et l’égalité. Car n’oublions jamais que nous sommes tous des frères comme le rappel l’hymne européen.
Une Europe Forte pour un monde en paix !