Chômage : le grand casse-tête de l’emploi !
SAISON 5 / EPISODE 5
Depuis 60 ans l’assurance chômage protège les salariés face au risque de chômage, au gré des transformations du marché du travail et de la conjoncture économique.
Face aux fermetures d’usines, de licenciements en tout genre, ou simplement d’arrangement entre salariés et patrons, elle est là pour assurer une sécurité de revenus lorsque l’on est privé d’emploi.
Comment va évoluer l’assurance chômage qui nous protège en cas de perte d’emploi ? Comment assurer la meilleure couverture, et ce de manière équitable pour les Français, pour ne pas se retrouver sans ressources en cas de coup dur.
Avec un taux de chômage de plus de 20%, les jeunes sont les plus touchés, comment enrayer ce phénomène ? Plus de 87% des embauches se font en contrat cours, en CDD, comment arriver à décrocher le saint graal du CDI ?
Paradoxalement, les entreprises ont du mal à recruter alors qu’il y a du chômage en France ! Que se passe-t-il ? Pôle-emploi, politiques, patron, et association seront en plateau pour en débattre avec nous !
Chômage : LE GRAND CASSE-TETE DE L’EMPLOI ! c’est notre prochaine enquête sur le www.fautquonenparle.fr
Les invités de l’émission sur le chômage :
- Laurence SANIAL – Directrice de CESAME à Toulon dans le domaine de l’emploi
- Franck COURIOL – Directeur de Pole Emploi Toulon Carnot
- Thomas ROLLER 1er Secrétaire fédéral du Parti socialiste du Var
- Maître Christophe MACONE Avocat spécialisé en droit du travail
- Reynald CADORET – Référent Départemental Var de LREM
- Marc BRUNETTO – Chef d’entreprise CMC Groupe à Six fours
Les chiffres clés de l’émission sur le chômage :
Quelques dates clés sur l’assurance chômage ?
Depuis le 31 décembre 1958, l’assurance chômage protège tous les salariés du privés et certains du secteur public qui perdent leur emploi. Elle leur verse alors une allocation et favorise leur retour à l’emploi grâce à des aides.
En Octobre 1974 première crise économique de l’assurance chômage à cause d’une montée soudaine du chômage.
Le 24 février 1984 elle devient le régime de base et le 18 juillet 1992 on instaure la dégressivité des allocations.
Autre date clé c’est la création de POLE EMPLOI le 19 décembre 2008 qui fusionne avec l’ANPE pour trouver du travail et les ASSEDIC organisme qui paye les allocations.
Quelques chiffres clés sur le chômage en France ?
Aujourd’hui c’est plus de 5,6 Millions de personnes sont inscrites à Pole emploi, environ 3,4 millions n’ont aucun emploi et le reste travaillent partiellement. On peut noter un certain recul de 1,5% sur l’année 2018 par rapport à 2017.
Et sur le chômage de longue durée ?
On constate que le nombre d’inscrits pour la catégorie d’un an ou plus est en hausse de 1,6% (de 2 570 000 à 2 611 000), mais également que le nombre de demandeurs d’emploi de deux ans à moins de trois ans augmente de 2,8%.
Les chiffres clés de l’émission sur le chômage – Mise à jour 2024 :
L’assurance chômage en France a une longue histoire marquée par des évolutions législatives et des crises économiques qui ont façonné le système tel qu’il est aujourd’hui. Voici un aperçu des dates clés et des statistiques actuelles concernant le chômage dans le pays.
Dates clés de l’assurance chômage
- 31 décembre 1958 : L’assurance chômage est instaurée pour protéger les salariés du privé et certains du secteur public, leur versant des allocations et facilitant leur retour à l’emploi.
- Octobre 1974 : Première crise économique de l’assurance chômage due à une montée soudaine du chômage.
- 24 février 1984 : L’assurance chômage devient le régime de base.
- 18 juillet 1992 : Introduction de la dégressivité des allocations.
- 19 décembre 2008 : Création de Pôle emploi par la fusion de l’ANPE et des ASSEDIC, centralisant la recherche d’emploi et le versement des allocations.
Chiffres clés du chômage en France
En 2024, le chômage reste un défi majeur en France. Plus de 5,6 millions de personnes sont inscrites à Pôle emploi, dont environ 3,4 millions n’ont aucun emploi et le reste travaillent partiellement. Cependant, il y a eu une légère amélioration avec une baisse de 1,5 % des inscrits en 2018 par rapport à 2017.
Chômage de longue durée
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits depuis un an ou plus est en augmentation de 1,6 %, passant de 2,57 millions à 2,611 millions. De plus, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits depuis deux ans à moins de trois ans a augmenté de 2,8 %.
Chômage des jeunes en France et en Europe
Le chômage des jeunes (15-24 ans) en France est préoccupant, atteignant 20,8 % en 2018. Comparé à d’autres pays, la France se situe en 5ème position parmi les mauvais élèves, avec l’Afrique du Sud en tête (53,4 %), suivie de la Grèce (43,6 %), de l’Italie (34,8 %) et de l’Espagne (34,4 %). La moyenne de l’Union Européenne est de 16,9 %, tandis que le Japon affiche le taux le plus bas avec 3,7 %, suivi de l’Allemagne à 6,8 %.
Concernant le chômage des jeunes en France et dans le reste de l’Europe ?
Celui-ci est très élevé il était de 20,8% en 2018 pour les 15-24 ans. Les mauvais élèves sont en premier l’Afrique du sud avec 53,4 %, puis la Grèce avec 43,6%, ensuite l’Italie avec 34,8% et enfin l’Espagne avec 34,4%. Nous arrivons malheureusement en 5ème position.
La moyenne de l’union Européenne est à 16,9% et le plus bas c’est le Japon avec 3,7% suivi de l’Allemagne avec 6,8%.
Pour quelle raison arrive-t-on au chômage ?
La première raison d’inscription à Pôle Emploi est la rupture de CDD, qui concerne un quart des demandeurs d’emploi. On peut ajouter 7% de fins de missions d’intérim. Deux autres catégories représentent environ 20% des chômeurs chacune : les premières entrées sur le marché du travail et les reprises d’activité. Puis les licenciements économiques (2%) et les démissions (8%) sont les cas les plus rares.
Parlons des prud’hommes ?
Fin 2018 des chiffres sont tombés seulement 15% de litiges en moins devant les conseils des prud’hommes en 2017 par rapport à 2016. Le nombre de dossiers est passé de 150 000 à 127 000, une baisse attribuée notamment à la loi travail sous la présidence de François Hollande et aux ordonnances prises par son ministre de l’économie Emmanuel Macron. Il y a plusieurs facteurs expliquant ces retraits :
- Création de ruptures conventionnelles
- Délai de prescriptions raccourcis
- Complexifications des démarches pour les salariés
- Un nouveau barème d’indemnisation fortement restreint.
Quelques chiffres clés sur la Formation en France ?
3000 entreprises réalisent 70% du chiffre d’affaires du marché de la formation. On dénombre environ 17 Millions de personnes formées chaque année en France.
85% des besoins sont couverts par l’offre privée de formation.
150 000 salariés sont employés dans le secteur de la formation professionnelle.
Le chômage et son impact sur l’économie
Dans un monde où le taux de chômage est élevé, les gens sont plus susceptibles d’avoir des problèmes d’argent, comme ne pas pouvoir payer leurs factures à temps, ne pas pouvoir trouver un bon emploi, ne pas recevoir le salaire qu’ils méritent, etc. Ces problèmes s’accompagnent souvent de problèmes psychologiques tels qu’une faible estime de soi, de l’anxiété, un mauvais sommeil, etc. Le chômage n’est pas seulement un problème social, il a aussi un impact sur l’économie en diminuant les revenus, les investissements et la productivité. Le chômage est une condition qui peut affecter une personne à n’importe quel stade de sa vie. Il ne se soucie pas de la race, du sexe ou de l’âge. Il peut toucher aussi bien les enfants d’âge scolaire que les adultes.
Causes du chômage dans l’économie
Le taux de chômage dépend de nombreux facteurs. Afin de comprendre les causes du chômage dans l’économie, il est d’abord important de comprendre ce qui provoque le taux de chômage :
- L’économie elle-même. En général, plus il y a de personnes employées, plus le taux de chômage est faible. Lorsqu’il y a plus de personnes à la recherche d’un emploi qu’il n’y a d’emplois, le taux de chômage augmente.
- La politique. Les changements de politique ont la capacité d’avoir un impact significatif sur le niveau de chômage dans l’économie, telles que les changements fiscaux, les changements dans les soins de santé ou encore les changements dans les politiques d’immigration.
- Les données démographiques. Le niveau de chômage dans l’économie dépend également des données démographiques. Par exemple, l’âge des personnes actives a une incidence sur le niveau de chômage. Les jeunes sont souvent à la recherche d’un emploi et sont donc plus susceptibles de connaître le chômage que les personnes plus âgées.
- La croissance économique. Une croissance économique plus forte peut améliorer la situation des chômeurs dans l’économie. En termes simples, lorsque l’économie se développe, davantage de personnes sont en mesure de gagner de l’argent et sont donc moins susceptibles de connaître le chômage.
- Les programmes gouvernementaux. Les programmes gouvernementaux peuvent également avoir un impact sur le niveau de chômage dans l’économie. Par exemple, s’il existe un programme de création d’emplois, davantage de personnes auront un emploi et, par conséquent, moins de chômage.
Comment mesurer et estimer le taux de chômage ?
Le taux de chômage est souvent utilisé pour mesurer le niveau de chômage dans l’économie. Pour ce faire il suffit d’indiquer le nombre de personnes sans emploi par rapport au nombre de personnes qui recherchent activement un emploi dans l’économie. D’autres moyens de mesurer et d’estimer le taux de chômage incluent le nombre de personnes qui recherchent activement un emploi et le nombre de personnes qui ne travaillent plus parce qu’elles ont trouvé un emploi.
Afin d’affiner le taux de chômage, le Bureau of Labor Statistics avec l’aide de l’American Community Survey (ACS) travaille aussi sur ces chiffres, leurs enquêtes consistent à demander aux personnes si elles cherchent du travail, si elles sont disponibles pour travailler ou si elles recherchent activement un emploi. De même le Bureau des statistiques du travail à partir de l’enquête sur la population actuelle (CPS) peuvent fournir des chiffres pour mesurer le taux de chômage de la population.
Le taux de chômage officiel est souvent critiqué parce qu’il s’agit d’une estimation et non d’une véritable mesure. La façon de mesurer le taux de chômage qui est souvent utilisée est la différence entre le nombre de personnes ayant un emploi et le nombre de personnes qui aimeraient avoir un emploi. C’est ce qu’on appelle la “marge de manœuvre sur le marché du travail”. C’est cette marge de manœuvre sur le marché du travail qui est souvent utilisée comme un indicateur du niveau de chômage.
Programmes gouvernementaux visant à améliorer le taux d’emploi
Il existe un certain nombre de programmes gouvernementaux visant à améliorer les taux d’emploi. Certains de ces programmes comprennent la création d’emplois pour les jeunes, les accords de création d’emplois et la loi sur le congé de maternité.
– Programme de création d’emplois pour les jeunes : Il s’agit d’un programme gouvernemental qui permet aux entreprises comptant plus de 51 employés de demander une subvention. Dans le cadre de ce programme, les employeurs sont tenus de créer un emploi dans le service public pour un jeune au chômage.
– Accords de création d’emplois : Il s’agit d’un programme qui permet aux employeurs de recevoir un crédit d’impôt s’ils embauchent une personne au chômage depuis 12 mois. Ce crédit d’impôt est souvent appelé “subventions à la création d’emplois”.
– Loi sur le congé de maternité : Il s’agit d’un programme qui aide les femmes à obtenir 6 semaines de congé si elles sont enceintes ou si elles s’occupent d’un nouveau bébé. Cela inclut également les personnes malades ou hospitalisées.
Points clés à retenir
Le chômage ne consiste pas seulement à percevoir un chèque ou des allocations. Il s’agit d’une condition que les gens connaissent lorsqu’ils n’ont pas d’emploi. La majorité des gens qui connaissent le chômage ne savent pas toujours qu’ils pourraient faire quelque chose pour améliorer leurs chances de trouver un emploi.
Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles le niveau de chômage dans l’économie peut augmenter ou diminuer. Parmi ces raisons, citons les changements de politique, les données démographiques, la croissance économique et les programmes gouvernementaux. Le niveau de chômage dans l’économie peut être mesuré de différentes manières en examinant le nombre de personnes qui cherchent un emploi et le nombre de personnes qui ne travaillent plus parce qu’elles ont trouvé un emploi.
En France, comme dans la plupart des économies développées, le taux de chômage a augmenté ces dernières années. En 2017, plus de 10 % de la population en âge de travailler était au chômage ou à la recherche d’un emploi. L’augmentation du chômage a également exercé une pression à la baisse sur les salaires.
De nombreuses raisons expliquent ce chômage si élevé en France et pourquoi les salaires baissent :
– Premièrement, il y a une inadéquation des compétences entre les demandeurs d’emploi et les postes disponibles : trop peu de personnes ont la formation adéquate pour travailler dans des secteurs à forte croissance comme les services numériques ou l’industrie manufacturière.
– Deuxièmement, la rigidité du marché du travail français fait qu’il est difficile pour les entreprises d’accroître rapidement leurs effectifs lorsqu’elles doivent faire face à des pics de demande ; les entreprises sont donc moins enclines à embaucher de nouveaux employés, même si elles en ont le potentiel.
– Troisièmement, le système de retraite français incite les travailleurs âgés à rester dans la population active plus longtemps qu’ils ne le feraient s’ils n’étaient pas préoccupés par leur épargne-retraite. Ces facteurs ont conduit à une augmentation du taux de chômage et à une baisse des salaires pour ceux qui restent employés.
5 conseils qui peuvent vous aider à survivre au chômage
Restez calme et ne paniquez pas
La première chose que vous devez faire si vous vous retrouvez au chômage, est de rester calme et ne pas paniquer. La panique ne ferait qu’aggraver la situation et ne vous aiderait pas à trouver un emploi. Votre recherche d’emploi peut vous prendre plus de temps si vous êtes stressé et constamment inquiet. Gardez les choses en perspective et ne vous découragez pas si vous ne trouvez pas rapidement un emploi, surtout si vous cherchez un emploi dans un marché du travail faible. Vous devrez peut-être ajuster vos attentes et chercher quelque chose de moins que votre dernier emploi. N’oubliez pas que vous n’avez pas à décider en un jour de ce que vous allez faire du reste de votre vie. Prenez votre temps et ne vous précipitez pas dans un emploi qui ne vous conviendrait pas.
Ne vous découragez pas
La recherche d’un emploi peut prendre beaucoup de temps, et vous devrez peut-être passer de nombreux entretiens sans obtenir d’offres. Si vous êtes sans emploi pendant six mois, vous avez droit à une allocation, qui vous aidera à traverser cette période difficile. Si vous êtes sans emploi depuis plus de six mois, vous avez peut-être droit à une indemnité, qui est un paiement hebdomadaire. Ces indemnités sont versées par l’agence pour l’emploi. Elles peuvent vous aider à vous en sortir pendant que vous poursuivez votre recherche d’emploi. Vous pouvez également bénéficier d’une réduction de votre temps de travail, appelée activité réduite, qui peut vous permettre de conserver votre assurance maladie et d’être moins payé, pendant que vous cherchez un emploi à temps plein.
Compensation
Si vous êtes licencié, vous pouvez avoir droit à une indemnisation de la part de votre employeur. Si vous êtes licencié pour des raisons économiques, vous avez droit à une indemnité de licenciement. Le montant que vous recevrez dépendra des conditions de votre contrat de travail et du nombre d’années que vous avez travaillé pour l’entreprise. Si vous avez travaillé pour votre employeur pendant plus de 10 ans, vous pouvez avoir droit à une indemnité. Une indemnité est un paiement pour la fin de votre contrat de travail.
Recherche d’emploi
La recherche d’un emploi peut être difficile et frustrante, mais il ne faut pas tomber dans le piège qui consiste à penser que vous devez trouver un emploi le plus rapidement possible. Vous aurez plus de succès si vous vous fixez des attentes réalistes et si vous êtes patient. Établissez un plan pour votre recherche d’emploi par exemple les jours et les heures où vous chercherez un emploi, les jours et les heures où vous ferez autres choses, comme du réseautage ou des cours de langue, ainsi que les jours où vous prendrez un congé complet. Restez aussi en contact avec vos anciens collègues et vos anciens employeurs. Gardez bien évidemment les dates auxquelles vous avez postulé à des emplois et de celles auxquelles ils étaient prévus. Restez en contact avec les personnes qui vous aident à trouver un emploi, comme les conseillers en emploi. Vous pouvez également adhérer à un syndicat de chercheurs d’emploi, ce qui peut vous aider à rester motivé et informé.
Ministère du travail
Si vous avez essayé toutes les autres options et que vous ne trouvez toujours pas d’emploi, vous devriez vous rendre au bureau du travail le plus proche de chez vous pour voir si vous avez droit à des allocations de chômage. Vous pouvez également trouver un emploi par le biais du programme de placement du ministère du travail. Ce programme est gratuit, mais vous devrez peut-être vous rendre dans une autre région de France pour trouver un emploi.
Nombre de chômeurs :
Le nombre de personnes sans emploi et recevant une aide du gouvernement est appelé le nombre de chômeurs. Ce nombre est suivi et publié chaque trimestre par le gouvernement. Les rapports trimestriels sur le nombre de chômeurs peuvent être utiles aux personnes à la recherche d’un emploi, car ces rapports fournissent des informations sur la santé du marché du travail en indiquant le nombre de personnes actuellement sans emploi, le nombre de personnes qui reçoivent une indemnité de licenciement et le nombre de personnes qui reçoivent des allocations de chômage.
Retour au travail :
Si vous bénéficiez d’allocations de chômage et qu’on vous propose un emploi, vous devez respecter certaines règles. Vous devez informer le gouvernement de l’offre d’emploi et il décidera s’il s’agit d’un emploi qui vous convient. Si c’est le cas, vous devez accepter l’emploi et retourner au travail.
Indemnisation :
Pour avoir été licencié, vous recevrez une indemnité. Une indemnité est un paiement que votre employeur doit vous verser lorsque vous êtes licencié. Le montant que vous recevrez dépendra des conditions de votre contrat.
Activité réduite :
Si vous percevez des allocations de chômage et que l’on vous propose un emploi à temps partiel, il se peut que vous puissiez continuer à percevoir les allocations tout en travaillant à temps partiel. Dans cette situation, vous bénéficierez d’une activité dite « activité réduite ». L’activité réduite est un type d’allocation de chômage qui vous permet de percevoir des allocations tout en travaillant à temps partiel et en percevant un salaire.
Troisième trimestre :
Le troisième trimestre de l’année s’étend de juillet à septembre. C’est à ce moment que le gouvernement publie généralement ses rapports sur le nombre de chômeurs pour le trimestre, qui s’est terminé le 30 septembre. Les partenaires sociaux ou les différents syndicats et associations d’employeurs, peuvent vous aider à trouver un emploi. Ils ont souvent en contacts avec des entreprises qui recherchent des employés.
Demandeur d’emploi :
Un demandeur d’emploi est une personne qui cherche un emploi. Le gouvernement et les partenaires sociaux fournissent souvent des ressources et une assistance pour aider les demandeurs d’emploi à trouver du travail. Il se peut également que vous puissiez trouver un emploi grâce à un programme de placement proposé par le gouvernement.
Unedic :
L’Unedic est l’organisme public chargé de gérer les allocations de chômage, les programmes de reclassement et les indemnités de licenciement. Elle est également responsable du suivi du nombre de chômeurs en France. L’Insee collecte et publie des données sur le chômage en France, notamment le nombre de chômeurs, le nombre d’allocataires et le nombre de personnes ayant un emploi. Les données publiées par l’Insee peuvent être utiles aux personnes à la recherche d’un emploi.
Indemnités de chômage :
Les allocations de chômage sont des paiements qu’une personne peut recevoir si elle est licenciée ou s’il n’y a pas assez d’emplois dans la région. En plus des allocations de chômage, vous pouvez bénéficier d’une réduction de votre temps de travail ou d’un emploi dans le cadre d’un programme de placement. Les allocations de chômage ne sont accessibles qu’aux personnes qui ne travaillent pas. Elles vous aident à subvenir à vos besoins pendant que vous cherchez un emploi. Le montant des prestations que vous recevrez dépendra du type de prestations dont vous bénéficiez et du nombre de personnes actuellement au chômage dans la région où vous vivez.
Quatrième trimestre :
Le quatrième trimestre de l’année s’étend d’octobre à décembre. C’est à ce moment-là que le gouvernement publie son rapport sur le nombre de chômeurs pour le trimestre, qui s’est terminé le 31 décembre.
RSA :
Acronyme français pour le régime général d’assurance sociale pour la maladie et l’invalidité. Il s’agit du régime d’assurance géré par l’État pour les personnes malades ou handicapées qui ne peuvent pas travailler.
RSI :
Acronyme français pour régime social des indépendants versement des prestations aux personnes qui ne peuvent pas travailler en raison d’une maladie ou d’un handicap. Si vous percevez le RSI, vous pouvez bénéficier d’une réduction de votre temps de travail ou d’un emploi dans le cadre d’un programme d’insertion professionnelle.
Précarité :
Le travail précaire est tout type de travail qui ne garantit pas un revenu régulier ou un emploi à long terme. Parmi les exemples de travail précaire, citons le statut d’entrepreneur indépendant, le travail à temps partiel ou à court terme, ou le travail en tant que freelance.
Candidat :
Un candidat est une personne qui postule pour un emploi ou une allocation d’emploi. Le gouvernement et les partenaires sociaux peuvent vous aider à trouver un emploi et peuvent vous assister dans votre demande d’emploi.
Mylène et Luc, les animateurs de l’émission – CREDIT : Faut qu’on en parle !