Un Président Ancien Capitaine de l’Armée Brésilienne qui a voulu faire un coup d’état
Voici les accusations que doit se pencher la Cour suprême du Brésil qui se nomme le STF le 25 mars sur la possibilité d’ouvrir un procès contre l’ancien président Jair Bolsonaro, accusé de tentative de coup d’État.
Il faut savoir que le démocratie brésilienne est très très jeune moins de 40 ans et surtout il a été faite juste après une dictature militaire.
Contrairement à l’Argentine, il n’a pas eu de procès des généraux et commandants de l’armée brésilienne qui on pratiqué des actes de tortures.
Vous comprenez pourquoi, le procès qui va arrivée est important. Car c’est la première fois qu’un général 4 étoiles et un ancien président du Brésil qui provient de l’armée va être jugé par des civiles.
Cette décision fait suite au rejet, jeudi dernier, des arguments avancés par son équipe de défense par le parquet.
Selon une source proche de la Cour suprême ayant communiqué avec l’AFP, bien qu’aucun délai strict ne soit imposé aux juges pour statuer sur l’ouverture d’un procès, une décision pourrait être rendue dès le jour même de l’examen du dossier.
Et il faut savoir que le passeport du l’ex capitaine de l’armée brésilienne et Président du Brésil a été pris par la Police Fédérale pour évité une fuite.
Eduardo Bolsonnaro a tout simplement fuit le Brésil en Janvier 2025 en direction des USA en disant qu’il devait rencontrer Trump lors de son investiture, il est député fédéral pour l’état de Sao Paulo et aujourd’hui cette fuite est très étrange, il se dit persécuté par la justice brésilienne mais des preuves de Mauro Cid, un ancien lieutenant colonel va faire fuité l’ensemble des informations au juge Alexandre de Moraes qui va permettre de comprendre la tentative de coup d’état du 8 janvier quand Lula était à Sao Paulo, dont nous allons vous dévoiler prochainement dans un super reportage.
L’ancien président d’extrême-droite, au pouvoir de 2019 à 2022, a réagi avec sarcasme sur le réseau social X, écrivant :
« Il semblerait que le processus judiciaire, par ici, avance à la vitesse de la lumière. »
Il n’est pas vrai car l’enquête à bientôt 3 ans. Il faut savoir qu’il a eu des preuves que la Police de la route fédéral du Brésil à tout fait pour que des bus du nord du Brésil soient en retard pour arriver dans les bureaux de votes, pourquoi ? Tout simplement car le Nord-Est du Brésil vote à gauche et donc lula.
Jair Bolsonaro – CREDIT : Wikipedia – Por Isac Nóbrega/PR – Flickr do Palácio do Planalto, CC BY 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=157671931
Le Brésil une démocratie en danger des réseaux sociaux qui déforment l’information et des messages whatsapp qui peuvent tuer une démocratie
Le Brésil est l’unique pays qui ouvre chaque dimanche le parlement pour une visite incroyable. Il faut savoir que le 8 janvier 2023, le Brésil a faillit redevenir une dictature, si selon les informations et les actes d’accusations du procureur sont véridiques.
En février dernier, 34 personnes, dont d’anciens ministres et des militaires de haut rang, ont été inculpées pour leur implication présumée dans un complot visant à empêcher le retour au pouvoir de l’actuel président de gauche, Luiz Inacio Lula da Silva. Ce dernier avait battu Jair Bolsonaro lors de l’élection présidentielle de 2022.
Un Général 4 étoiles, Braga Netto qui devait être le vice président de Jair Bolsonaro a été arrêté par la Police Fédéral est mis en prison. C’est la première fois dans l’histoire brésilienne qu’un général 4 étoiles est mis en prison.
La défense de Bolsonaro conteste la compétence de la Cour
Les avocats de l’ancien chef de l’État ont soutenu que la Cour suprême n’était pas compétente pour juger leur client.
Car il est un militaire et doit être jugé par ses pairs mais aussi car des juges ont été nommé par Lula. Moraes est un juge que Temer a nommé par exemple et l’ex président Bolsonaro a tout simplement nommé deux juges.
Ils ont également affirmé ne pas avoir eu accès à l’intégralité des éléments du dossier. Ces arguments, ainsi que ceux présentés par les autres accusés, ont été rejetés dans un document de 24 pages. Le parquet y affirme que toutes les objections ont été « surmontées ».
Paulo Cunha Bueno, l’un des avocats de Bolsonaro, a exprimé son « indignation » face à cette décision, qualifiant le processus pénal de « contaminé ».
Jair Bolsonaro, âgé de 69 ans, risque jusqu’à 40 ans de prison. Il continue de clamer son innocence, se disant victime d’une « persécution » politique. Mercredi dernier, lors d’une rencontre avec des journalistes à Brasilia, il a dénoncé un « procès politique » visant à l’écarter de la scène politique avant les prochaines élections présidentielles.
Il faut savoir que acte du 16 mars 2025 à pris l’eau avec seulement 18,3 milles personnes contre 1 million attendu. La police de Rio de Janeiro dont le gouverneur est proche de Bolsonaro a fait grossir les chiffres en arrivant à 400 000. Il faut savoir que pour le réveillon il va avoir plus ou moins 2 millions de personnes à Copacabana. Comme vous le voyez l’USP de Sao Paulo avec une intelligence artificielle est plus proche des véritables chiffres
Une inéligibilité jusqu’en 2030
Bolsonaro est actuellement inéligible jusqu’en 2030 en raison de ses attaques répétées et infondées contre le système de vote électronique brésilien. Cependant, il espère faire annuler cette décision pour pouvoir se présenter à nouveau en 2026.
Il faut savoir que les réseaux sociaux comme X, Facebook et Whatsapp peuvent faire proliféré des fausses informations.
Aujourd’hui ce n’est pas que le Brésil qui est en danger, mais le monde aussi, face aux réseaux sociaux. Le procès sera l’un des plus grands moment de l’Histoire Brésilienne et de sa jeune démocratie.
Par ailleurs, l’ancien président a appelé ses partisans à se rassembler dimanche sur la célèbre plage de Copacabana à Rio de Janeiro. Lors de cet événement, un appel à l’amnistie sera lancé en faveur des personnes condamnées pour les émeutes du 8 janvier 2023. Ce jour-là, des milliers de partisans de Bolsonaro avaient envahi le palais présidentiel, la Cour suprême et le Parlement pour contester l’investiture de Lula et réclamer une intervention militaire.
Cette affaire, qui continue de diviser le Brésil, soulève des questions cruciales sur l’état de la démocratie et de la justice dans le pays.