La Fumée au Brésil et à Belo Horizonte est toxique pour la santé de la population. Mais les feux, la technique du brulis va augmenter la formation de cette fumé. L’air chaud et sec empêche la pollution de se dissiper et surtout elle bloqué au sol.
Fumé au Brésil et à Belo Horizonte à 13h00- crédit photo Arnaud Sion
Fumée au Brésil et à Belo Horizonte
Pour le quatrième jour consécutive, la ville de Belo Horizonte est dans la fumée. Le Mercredi 4 Septembre Belo Horizonte a été la ville la plus polluée au monde et une première dans son histoire.
On frise les records plus de 135 jours sans plus uniquement 1963 a eu plus de jours plus de 187 jours.
La fumé à Belo Horizonte provient de la pollution, des incendies autour de la ville et surtout même en Amazonie. Ensuite la chaleur et le temps sec qui laisse la pollution dans collé au sol.
Il faut savoir qu’il n’est pas rare d’avoir une période de sécheresse avec un système de haute pression.
Il faut savoir que l’air se déplace vers le bas et empêche les polluants de se disperser, ce qui augmente la concentration dans la basse atmosphère. C’est comme s’il y avait un couvercle qui empêchait ces particules de se dissiper.
Selon l’Institut national de météorologie (Inmet), cette année, la situation a été aggravée par de fréquents blocages atmosphériques, qui empêchent la pluie de tomber. Les incendies constituent un autre facteur aggravant et la pollution qui augmente d’année en année.
Nous avons aussi cette série d’incendies dans le Brésil et vous avez vu à Sao Paulo. Dans ce système météorologique, qui facilite la concentration des polluants, nous avons également une plus grande insertion de polluants dans cette couche inférieure de l’atmosphère, ce qui donne cette composition que l’atmosphère est comme restreinte, avec beaucoup de fumée et chaque fois que la concentration augment. Et cela augmente d’année en année.