Un large collectif d’organisations appelle à une mobilisation le 22 mars à Toulon, contre le racisme et le fascisme.
Aujourd’hui, les français disent stop, oui stop aux fascismes et aux racismes. Il faut savoir que la manipulation des réseaux sociaux comme X, Facebook et autres font augmenter le racisme et les idéologies de l’extrême droite.
Il est très facile de reprendre certaines idées. Trump, l’Extrême Droite Européenne, l’Argentine et au Brésil reprennent des idées simplistes pour vous n’avez pas une bonne vie, vous n’avez pas beaucoup d’argent à cause de ses personnes. Il faut savoir que la majorité des personnes qui vont avoir le discours suivant son dans le système.
Parlons de Victor Orban qui est devenu la quinzième fortune de Hongrie et sa famille est devenu riche.
Avez-vous vu le désastre en Argentine à la suite de l’arrivée au pouvoir de Milei. L’Argentine est entrée dans une spirale inflationniste, une baisse des dépenses publiques liées à la santé et bien plus.
Aujourd’hui, il est primordial de garder le débat démocratique intacte, d’interdire les algorithmes de manipuler nos vies.
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Manifestants dans les rues de Toulon – CREDIT : Faut qu’on en parle !
Un large collectif d’organisations varoises appelle à un rassemblement ce samedi 22 mars à 10h30, place de la Liberté à Toulon. L’événement s’inscrit dans une journée mondiale de lutte contre le racisme et le fascisme, en écho à la Journée internationale des migrants. Dans un contexte politique et social de plus en plus tendu, les organisateurs veulent faire entendre leur voix pour défendre l’égalité des droits, la régularisation des sans-papiers et une société plus juste et solidaire.
Un contexte préoccupant : une politique accusée de fracturer la société
Les collectifs à l’initiative de cette mobilisation dénoncent une politique gouvernementale qui, selon eux, renforce les discriminations et favorise la montée des idées d’extrême droite. Ils pointent du doigt des mesures qui, plutôt que d’encourager la cohésion sociale, précarisent davantage certaines populations, notamment les personnes migrantes.
Parmi les arguments avancés :
- Une politique qui alimente les discours de haine et divise la société, notamment via des relais médiatiques prônant des idées extrêmes.
- Une précarisation grandissante des personnes sans-papiers, condamnées à l’illégalité et à l’exclusion sociale.
- Une répression accrue des associations et des citoyens solidaires des étrangers, un phénomène jugé inquiétant par les défenseurs des droits humains.
- Un affaiblissement de la démocratie, favorisant des dérives autoritaires et une banalisation des comportements racistes au sein même des institutions.
Ces militants insistent sur un point central : l’absence de droits pour certains n’a jamais renforcé les droits des autres. Au contraire, ils estiment qu’en privant une partie de la population de protections fondamentales, c’est l’ensemble de la société qui s’affaiblit.
Une riposte nécessaire : unir les forces pour l’égalité des droits
Face à cette situation, les organisations varoises appellent à une réponse collective et solidaire. Le mot d’ordre est clair : lutter ensemble contre la haine et les discriminations. Selon les organisateurs, la montée des idéologies racistes et fascistes ne peut être stoppée que par une mobilisation citoyenne forte, rassemblant toutes celles et ceux qui refusent la division et l’exclusion.
Les revendications mises en avant lors du rassemblement de Toulon sont multiples :
✅ L’égalité des droits pour toutes et tous, indépendamment de l’origine ou du statut administratif.
✅ La régularisation des sans-papiers, afin de leur permettre de vivre dignement et de contribuer à la société.
✅ Le rejet des politiques de répression et de précarisation, qui enferment des milliers de personnes dans des situations inextricables.
✅ Le soutien aux associations et aux citoyens engagés dans la solidarité avec les migrants, dont l’action est souvent entravée par des mesures restrictives.
✅ La défense des valeurs démocratiques et des principes de justice sociale, face à la montée des extrêmes.
Un appel à la mobilisation : « L’heure est à la riposte ! »
À l’approche de cette journée de lutte, les organisateurs insistent sur l’importance de la mobilisation citoyenne. Ils appellent l’ensemble des habitants du Var, militants, syndicats, associations, mais aussi simples citoyens préoccupés par la montée des idées racistes, à se joindre au rassemblement du 22 mars.
Selon eux, il est urgent d’opposer un front uni à celles et ceux qui prônent la haine, la division et le rejet de l’autre. L’événement de Toulon s’inscrit ainsi dans un mouvement plus large, national et international, visant à rappeler que la diversité est une richesse et que la solidarité doit primer sur la peur et la stigmatisation.
L’enjeu dépasse le cadre de cette manifestation : il s’agit d’un véritable combat pour la justice sociale et l’égalité des droits, afin que toutes les personnes vivant en France, quelle que soit leur origine, puissent bénéficier des mêmes protections et opportunités.
Un message fort contre le racisme et le fascisme
Dans un climat politique marqué par la montée des idées réactionnaires, les organisateurs veulent faire passer un message clair : les valeurs d’égalité et de solidarité doivent triompher sur les logiques de rejet et d’exclusion. Ils affirment que seule une société inclusive et unie permettra de répondre aux défis actuels, en combattant les injustices et en construisant un avenir fondé sur les droits humains et la dignité de chacun.
Le rassemblement du 22 mars à Toulon sera donc une occasion cruciale de réaffirmer ces principes et de montrer que la lutte contre le racisme et le fascisme est plus que jamais d’actualité.