Zelensky confronté à la réalité diplomatique brutale de Trump, c’est historique qu’est-ce que Donald à fait dans le bureau ovale. Il faut savoir que Trump souhaite terminer une guerre pour en faire une autre celle de l’économie et il va avoir des morts. 

L’affrontement violent qui s’est déroulé dans le Bureau ovale ce vendredi marque un tournant historique, non seulement pour le président ukrainien Volodymyr Zelensky, mais aussi pour l’Europe tout entière. Cette scène, qui a pris des allures de humiliation publique, révèle cependant une réalité plus profonde : sous l’ère Trump, les États-Unis semblent déterminés à abandonner leur rôle traditionnel de gendarme du monde, quitte à se rapprocher de manière spectaculaire de Vladimir Poutine.

Les USA ne souhaite plus propager sa vision du monde et notamment la liberté. Il souhaite toujours dominer le monde mais d’une autre façon. Nous pouvons le voir avec les algorithmes de YouTube, Facebook, Instagram et Google.

Il est urgent pour l’Europe de reprendre son avenir en main et pour éviter un conflit avec la Russie dans quelques années l’Europe doit se réarmer.

Capture d'écran du Twitter Cspan dans le bureau ovale

 Un scénario prévisible mais néanmoins choquant

La rencontre entre Zelensky, Trump et son vice-président JD Vance a été décrite comme une véritable mise à mort politique. Ceux qui ont assisté à l’échange ont eu du mal à en croire leurs yeux, tant la scène était à la fois ahurissante et dérangeante.

Zelensky, venu à Washington dans l’espoir de finaliser un accord sur les terres rares ukrainiennes, s’est retrouvé piégé dans une embuscade diplomatique qui a surpris même les observateurs les plus avertis.

Tout commence avec une question pourquoi vous n’avez pas de costume et finalement le vice président des USA lance la charge.

Il faut savoir que depuis des semaines, les signes avant-coureurs de cette confrontation étaient visibles.

Les pièces du puzzle de la politique étrangère de Trump, marquée par son slogan « Make America Great Again » (MAGA), étaient déjà en place.

Trump, connu pour son aversion envers tout ce qui ne sert pas directement les intérêts américains, a une fois de plus démontré son mépris pour les alliances traditionnelles et son désir de recentrer la politique étrangère des États-Unis autour de ses propres priorités.

Il faut savoir que quelques jours avant la rencontre il l’avait traité de dictateur puis revenu sur ses mots.

Une humiliation finement calculée qui restera dans l’histoire

Le Wall Street Journal a résumé la situation avec justesse : « Poutine a déjà gagné l’affrontement entre Zelensky et les présidents américains. » En effet, la scène de vendredi a non seulement humilié Zelensky, mais elle a également révélé la marge de manœuvre que Trump compte accorder à son vice-président, JD Vance, connu pour son opposition farouche au soutien américain à l’Ukraine. Vance, un orateur redoutable et un fervent défenseur de la ligne dure de Trump, a joué un rôle clé dans cette confrontation.

Pour Zelensky, cette rencontre restera sans doute un cauchemar. Mais au-delà de l’humiliation personnelle, cet épisode soulève des questions cruciales sur l’avenir des relations internationales.

Trump, avec son style de diplomatie bulldozer, a clairement indiqué que les États-Unis ne joueront plus le rôle de protecteur du monde libre. Son objectif est simple : recentrer la politique étrangère américaine sur les intérêts nationaux, quitte à sacrifier des alliances de longue date.

Les obsessions de Trump

Donald Trump a deux obsessions majeures. La première est de réintégrer la Russie de Poutine dans le jeu géopolitique mondial, même si cela signifie réécrire l’histoire de l’invasion russe en Ukraine, qui vient de marquer son troisième anniversaire. Pour Trump, seuls trois acteurs méritent d’être sur l’échiquier mondial : les États-Unis, la Chine et la Russie. Le reste, y compris l’Union européenne, est perçu comme un bruit de fond inutile. La vieille tante qu’on aime mais qu’on considère comme dépassée.

La seconde obsession de Trump est de faire en sorte que le monde craigne à nouveau les États-Unis. Son slogan « Make America Great Again » cache en réalité une volonté de restaurer la peur que l’Amérique inspirait autrefois. Pour y parvenir, tous les moyens sont bons, y compris l’humiliation publique d’un allié comme Zelensky.

Pour l’instant, nous sommes en train de voir que Trump réalise une guerre économique et selon les premières observations, cette guerre il va la perdre.

Trump vient d’oublier Lafayette et Tocqueville, sans nous les USA seraient rien et vice-versa car nous avons un lien de sang entre nos deux pays.

Un moment de télé-réalité diplomatique

La scène du Bureau ovale a été comparée à un épisode de télé-réalité, un domaine dans lequel Trump excelle.

En effet, l’ancien animateur de télévision sait parfaitement comment captiver l’attention et créer des moments chocs.

Vendredi, il a transformé le Bureau ovale en une arène où il a démontré sa nouvelle approche de la diplomatie : brutale, directe et sans compromis.

« Ce sera une excellente émission de télévision », a déclaré Trump après l’échange, soulignant ainsi son talent pour transformer des moments politiques en spectacles médiatiques. Cette mise en scène avait un objectif clair : rappeler au monde que, sous sa présidence, les États-Unis ne seront plus le gendarme du monde. Seuls les intérêts américains comptent, et l’Ukraine n’en fait pas partie.

Mais il faut savoir qu’après avoir réalisé cette confrontation historique, Trump va tout simplement partir pour jouer au Golf en Floride.

Les implications pour l’Europe et une nouvelle Europe est possible et arrive

Pour l’Europe, cet épisode est un signal d’alarme. Il est désormais clair que les États-Unis ne seront plus un allié fiable pour défendre l’Ukraine.

Les dirigeants européens, comme Emmanuel Macron, doivent rapidement prendre conscience de cette nouvelle réalité et agir en conséquence. Les déclarations de soutien ne suffisent plus ; il est temps de démontrer une réelle capacité à agir.

La France puissance nucléaire et fabriquant d’arme de pointe doit tout faire pour redévelopper son industrie et aussi rendre plus forte notre armée.

Ensuite, La France va devoir protéger l’Europe et ici, il faut que la France augmente ses têtes nucléaires pour faire comprendre qu’aujourd’hui, nous revenons.

Car Trump à peur de l’Europe, car toutes les grandes aventures européennes sont un succès prenons Airbus et Ariane Espace.

Ma conclusion sur cette scène 

La confrontation entre Trump et Zelensky marque un tournant brutal dans la politique étrangère américaine. Elle révèle une volonté claire de rompre avec les traditions diplomatiques et de recentrer les priorités sur les intérêts nationaux. Pour l’Europe et l’Ukraine, cela signifie qu’il est temps de repenser les alliances et de prendre des mesures concrètes pour assurer leur sécurité et leur stabilité dans un monde en mutation rapide.

Nous pouvons voir que Donald Trump traite le Canada comme un état fédéré des USA et ici, c’est une nouvelle guerre qui vient de lancer.