Alors que cette coupe du monde fait débat depuis le début de l’attribution au Qatar, le décès de 3 journalistes devraient encore embraser la toile.

3 journalistes ont perdu la vie au Qatar –  CREDIT : Pixabay

Un chiffre record mais loin d’être drôle pour cette coupe du monde au Qatar. Alors que jusqu’à présent sur aucune coupe du monde, un professionnel n’avait été trouvé mort, la mort d’un nouveau journaliste élève le compteur à 3 cette semaine.

Le premier à avoir perdu la vie est un britannique, Roger Pearce. Il est décédé le 21 novembre dans des circonstances pour le moment, inconnues alors qu’il travaillait pour ITV. Le tragique évènement est arrivé peu avant le début du match entre les États-Unis et le Pays de Galles. Mais c’est seulement le 13 décembre que la nouvelle a été apprise dans les médias. Il avait 65 ans.

Cette déclaration s’additionne à celui de l’Américain Grand Wahl et du Qatari Khalid Al Misslam.

Pour le premier, c’est le vendredi 9 décembre, que Grant Wahl, 48 ans, est décédé. C’est lors du quart de finale entre l’Argentine et les Pays-Bas qu’il s’est effondré dans les tribunes. Il travaillait depuis de nombreuses années pour la chaîne américaine CBS Sports. Une mort qui pose question. Sa mort est-elle liée au fait qu’il ait voulu entrer avec un tee-shirt arc-en-ciel en soutien à la cause LGBTQIA+ quelques jours auparavant. Les autopsies devaient faire taire les rumeurs et confirmer si sa mort est naturelle ou alors dû à un empoisonnement. Après le retour sur le sol américain, le journaliste est bien décédé naturellement, d’un anévrisme aortique. Il a été précisé qu’aucun lien avec le Covid existe.

Dimanche, c’est le photojournaliste qatari Khalid Al Misslam qui a aussi été déclaré décédé dans des circonstances qui reste, pour lui aussi, inconnu. Il avait 44 ans.

Mais ces décès touchant tous les corps de métier. Un ouvrier originaire de Philippine a aussi trouvé la mort lors de cette coupe du monde, sur le site d’entraînement de l’Arabie Saoudite.