Hier, c’était la Journée internationale du sport féminin. Une date qui permet de contribuer à l’essor des pratiques féminines.

Une Journée internationale du sport féminin afin d’aider notamment à la médiatisation – CREDIT : Faut qu’on en parle !

Le 24 janvier est synonymes de la journée internationale du sport féminin depuis 2014. Cette date, créée par  le CSA et le Comité National Olympique et Sportif Français, est destinée à permettre au sport féminin de continuer à se développer. Les objectifs : « Développement de la pratique féminine du sport, présence des femmes dans les instances dirigeantes sportives, économie du sport féminin, médiatisation du sport féminin » d’après les organisateurs.

A savoir qu’en France, sur 56 millions de Français de plus de 16 ans, 22 millions sont fans de sport et 12,3 millions de sport féminin. Etonnant mais vrai.  Les personnes âgées sont les plus gros consommateurs de sport féminin.

Concernant les personnalités marquantes de sports féminins, les icones, on retrouve : Laure Manaudou en natation, Amandine Henry, Wendie Renard et Eugénie Le Sommer en football, Clarisse Agbegnenou au judo et Amélie Mauresmo au tennis.

Les disciplines féminines qui attire le plus les téléspectateurs sont le football suivi par le tennis, l’athlétisme, la natation et le cyclisme.

Point de vue financier, une étude montre que « le sport masculin de haut niveau générera en France 1,96 milliard d’euros en 2021, soit six fois le montant généré par le sport féminin de haut niveau (293 millions d’euros) ».

Point de vue parité dans les structures, de plus en plus de sport essaye de l’atteindre. C’est notamment le cas au handball.

Si cette journée permet ed mettre en avant ces femmes et de mettre en lumière les objectifs et la parité, pour Marie-Françoise Potereau ancienne cycliste de haut niveau, le sport féminin, « il faudrait en parler 365 jours par an ». Une réflexion que beaucoup de nos lecteurs et sportives partagent !